La sécurité sur Blackberry a suscité des derniers mois pleins de controverses ! A commencer par l’administration Obama (NSA & CIA) qui ont fortement recommandé à ce dernier de ne pas utiliser ce produit de la société Canadienne RIM, et pour cause : Le manque de sécurité. Message reçu, les services secrets (intelligents) aux USA ont déjà la possibilité de pirater ce système !
Cela-dit, ce n’est pas juste outre-Atlantique que le problème se pose, même chez nos voisins français, l’interdiction de l’utilisation du Blackberry est de vigueur dans les cabinets ministériels. Que faut-il y comprendre ? Ce produit, favorise-t-il l’espionnage ? Et surtout l’espionnage industriel ?
Il est vrai que le succès de ce produit n’est plus à démontré. Push mails, assistant personnel (Agenda, éditeur de texte, tableaux de données, GPS…). L’outil parfait, dira-t-on, pour une mobilité parfaite.
Mais là ou s’arrête les avantages commencent les inconvénients.
L’utilité première du Blackberry était de pouvoir traiter ses emails sans délais d’attente, le temps de réaction est un avantage concurrentiel. Mais qui dit rapidité, dit manque de concentration, dit erreurs.
L'engin place son utilisateur dans une gestion de type flux tendu. Sans autodiscipline, celui-ci risque de perdre le temps de la réflexion par l'accélération du phénomène de « ping-pong » (échanges rapides) entre interlocuteurs.
Par ailleurs, la réception des courriels en continu augmente le fractionnement du travail entre les tâches. « Ce type d'outil fait gagner du temps, mais provoque de plus en plus d'interruptions pas forcément synonymes de meilleure productivité », dixit Jérôme Tougne, docteur en psychologie et consultant chez Stimulus.
Ainsi, pour un cadre, le zapping a réduit le temps moyen de chaque tâche à 7 minutes. Nonobstant, le Blackberry valorise le statut social de son possesseur. « C'est un signe indiquant que le travail qu'il entreprend au sein de l'entreprise est important car il peut être joignable 24 heures sur 24. Certains y voient d'ailleurs une récompense. »
Concernant la sécurité, il est absolument sur que pour les grands responsables d’un état, cet appareil ne doit en aucun cas être utilisé. Pour les directeurs d’entreprises, le risque est minime sauf s’il s’agit d’entreprises opérant pour des états dans des domaines sensibles.
Ainsi pour terminer, il est nécessaire de rappeler pour les professionnels, qu’il est plus qu’impératif de savoir gérer l’utilisation de ce magnifique engin afin d’éviter des déboires et surtout des erreurs qui parfois peuvent s’avérer catastrophiques pour l’entreprise.
Sources :
www.blackberry.com/fr
www.rim.net
www.stimulus-conseil.com
W3CONSULTING
Cela-dit, ce n’est pas juste outre-Atlantique que le problème se pose, même chez nos voisins français, l’interdiction de l’utilisation du Blackberry est de vigueur dans les cabinets ministériels. Que faut-il y comprendre ? Ce produit, favorise-t-il l’espionnage ? Et surtout l’espionnage industriel ?
Il est vrai que le succès de ce produit n’est plus à démontré. Push mails, assistant personnel (Agenda, éditeur de texte, tableaux de données, GPS…). L’outil parfait, dira-t-on, pour une mobilité parfaite.
Mais là ou s’arrête les avantages commencent les inconvénients.
L’utilité première du Blackberry était de pouvoir traiter ses emails sans délais d’attente, le temps de réaction est un avantage concurrentiel. Mais qui dit rapidité, dit manque de concentration, dit erreurs.
L'engin place son utilisateur dans une gestion de type flux tendu. Sans autodiscipline, celui-ci risque de perdre le temps de la réflexion par l'accélération du phénomène de « ping-pong » (échanges rapides) entre interlocuteurs.
Par ailleurs, la réception des courriels en continu augmente le fractionnement du travail entre les tâches. « Ce type d'outil fait gagner du temps, mais provoque de plus en plus d'interruptions pas forcément synonymes de meilleure productivité », dixit Jérôme Tougne, docteur en psychologie et consultant chez Stimulus.
Ainsi, pour un cadre, le zapping a réduit le temps moyen de chaque tâche à 7 minutes. Nonobstant, le Blackberry valorise le statut social de son possesseur. « C'est un signe indiquant que le travail qu'il entreprend au sein de l'entreprise est important car il peut être joignable 24 heures sur 24. Certains y voient d'ailleurs une récompense. »
Concernant la sécurité, il est absolument sur que pour les grands responsables d’un état, cet appareil ne doit en aucun cas être utilisé. Pour les directeurs d’entreprises, le risque est minime sauf s’il s’agit d’entreprises opérant pour des états dans des domaines sensibles.
Ainsi pour terminer, il est nécessaire de rappeler pour les professionnels, qu’il est plus qu’impératif de savoir gérer l’utilisation de ce magnifique engin afin d’éviter des déboires et surtout des erreurs qui parfois peuvent s’avérer catastrophiques pour l’entreprise.
Sources :
www.blackberry.com/fr
www.rim.net
www.stimulus-conseil.com
W3CONSULTING