Si l’opération devait se concrétiser, France Télécom se retrouverait à nouveau en concurrence frontale avec Vivendi, propriétaire de 53% du capital de Maroc Télécom (numéro un du royaume chérifien).
L’opérateur français avait réaffirmé lors de la publication de ses comptes semestriels vouloir mener une politique d’acquisition sélective visant principalement à doubler le chiffre d’affaires sur les trois à cinq ans à venir dans les marchés émergents (notamment en Afrique et au Moyen-Orient).
Source: Capital.fr