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Archive for août 2011

Microsoft Windows 8 : Les nouveautés en direct de Redmond




Petit à petit, Windows 8 se dévoile. Cette fois c’est l’explorateur de fichiers que Microsoft a choisi de présenter sur son blog « building Windows 8 ». « L’explorateur Windows est l’un des fondements de l’expérience utilisateur sur le bureau Windows et a vu plusieurs changements de design au cours des ans, mais n’a pas connu de changement substantiel depuis assez longtemps », indique Steven Sinofsky en guise d’introduction.

L’explorateur va donc être dépoussiéré avec Windows 8 et gagner un élément d’interface que les utilisateurs de Windows 7 et d’Office connaissent bien : le « ruban », cette barre d’outils surmontée de plusieurs onglets en haut de l’écran, qui permettent de modifier les commandes affichées.


Une barre de commandes peu utilisée
Pourquoi ce choix ? En utilisant ses données de télémétrie fournies anonymement par certains utilisateurs de Windows 7, Microsoft s’est rendu compte que la barre de commandes de l’explorateur de fichiers était très peu utilisée : d’après ses chiffres, 54,5 % des opérations réalisées dans le logiciel se font à l'aide du menu contextuel (clic droit), 32,2 % avec des raccourcis clavier, et seulement 10 % avec la barre. « Avec plus de 85 % des commandes invoquées avec une autre méthode que celle de l’interface principale, il y avait clairement une opportunité d'améliorer l’expérience utilisateur de l’explorateur pour le rendre plus efficace, plus visible et uniformément accessible, », écrit Alex Simmons de Microsoft.



Le nouveau ruban disposera de plusieurs onglets présentant des commandes différentes, en plus du menu « Fichier ». Le premier, « Home », regroupe l’ensemble des fonctions les plus courantes de l’explorateur (déplacer, copier, nouveau dossier etc.). Un deuxième menu, « Share » (partager) permettra non seulement de partager, mais aussi de zipper ou de graver un groupe de fichiers. « View » (vue) montrera les différentes options de visualisation des fichiers. Enfin, des onglets contextuels sont également de la partie, ils s’afficheront en fonction des dossiers que vous explorez ou de la fonction que vous utilisez (photos, vidéos, recherche etc.)
Microsoft a par ailleurs ajouté quelques fonctions à son navigateur, augmenté le nombre de raccourcis clavier et ajusté son interface aux écrans larges. Il sera par ailleurs possible de customiser son bandeau, en sélectionnant les fonctions que l’on préfère et en réduisant la taille des icônes.

Une nouveauté critiquée
Ces développements sont loin d’avoir convaincu tout le monde. Sur la Toile, ils sont nombreux à critiquer, voire moquer la direction que prend Microsoft avec ce ruban, qui avait déjà posé problèmes à de nombreux utilisateurs d’Office, dans sa version 2007. Dans un billet largement repris sur Tumblr, l’entrepreneur Laurie Voss explique même que « Microsoft est officiellement entré dans le royaume de l’auto-parodie » pour plusieurs raisons : d’abord pour mettre justement en avant la barre de commande alors qu’elle n’est que très peu employée par les utilisateurs Windows - qui lui préfèrent, comme on l'a vu, le clic-droit ou les raccourcis. D’autre part en indiquant que dans ce fameux ruban « 50 % de la barre est occupée par des boutons que personne n’utilisera jamais, même selon les études maison de Microsoft. »

Mauvaise foi ? En tout cas, Laurie Voss est loin d’être le seul à se plaindre de cette profusion de fonctions à venir dans l’explorateur de Windows 8. Microsoft avait sans doute vu les critiques venir : dans le billet présentant le nouvel explorateur, Alex Simmons précise bien que « l’utilisation d’un ruban dans l’explorateur pourrait rencontrer du scepticisme chez les power users, mais qu’il y a des avantages clairs à son utilisation », notamment la mise en évidence de fonctions jusqu’alors cachées, une customisation avancée et de nouveaux raccourcis clavier.

Source : 01net

Exclusif : Steve Jobs l'emblématique PDG d'apple démissionne



Steve Jobs, M. iPhone, iPad et compagnie, co-fondateur d’Apple, a déposé sa démission mercredi de son poste de chef de la direction, indiquant qu’il ne pouvait plus continuer à assumer les fonctions reliées au titre.

Cette décision semble résulter d’un problème de santé, depuis longtemps remarqué, pour lequel il a pris un congé d’une durée indéterminée en janvier. Le directeur de l’exploitation d’Apple, Tim Cook, a été nommé chef de la direction.

Dans une lettre adressée au conseil d’administration de l’entreprise et à la communauté Apple, M. Jobs a indiqué que s’il arrivait un jour où il ne serait plus en mesure d’accomplir ses tâches et de répondre aux attentes en temps que chef de la direction, il serait le premier à l’annoncer.

“Malheureusement, cette journée est arrivée”, a déclaré Steve Jobs

La santé de Steve Jobs a longtemps suscité de l'inquiétude chez les investisseurs d’Apple et même les places boursières qui oscillaient dès qu'il a un rhume et pour qui il est un oracle de l’industrie qui en avance sur tous savait ce que les consommateurs voulaient.

Après cette annonce, les actions d’Apple ont cédés presque instantanément 5,4 pour cent lors des échanges boursiers post-séance.

Depuis le début de ce mois-ci, Apple est devenue la compagnie la plus chère et la mieux évaluée sur le marché américain, dépassant même le géant Exxon Mobil. Mais cette place est désormais perdue car lors de la fermeture des marchés, mercredi, sa valeur boursière s’élevait à 349 milliards $ US, tout juste derrière Exxon Mobil, à 358 milliards $ US.

Apple a précisé que Steve Jobs avait été élu président du conseil d’administration, et que M. Cook devenait membre de ce conseil.

La compagnie a expliqué que M. Jobs avait remis sa démission mercredi, et suggéré que M. Cook devienne le nouveau chef de l’entreprise.

Les succès de M. Jobs ont semblé prendre de l’ampleur au fil des ans : après les colorés ordinateurs iMacs et les désormais omniprésents iPods, le iPhone qui a redéfini la catégorie des téléphones intelligents et le iPad qui a pratiquement créé le marché des ordinateurs tablettes.

Sa propre aura a semblé faire partie de l’attraction. Sur scène, lors des foires commerciales et des événements corporatifs, vêtus de ses jeans et de son col roulé noir, il présentait de nouveaux appareils, de nouvelles couleurs, de nouvelles fonctionnalités, amenant le tout à une grande finale précédée des simples mots “Encore une chose”.

Petite biographie :
Âgé de 56 ans, Steve Jobs a guidé Apple, au départ une PME de deux employés, jusqu’à une nouvelle venue dans la Silicon Valley lorsque l’Apple II, le premier ordinateur véritablement personnel, a envoyé IBM et les autres joueurs à leurs tables à dessin pour mettre en marché leurs propres PC.

Après un passage à vide d’Apple au milieu des années 1980, il a été remercié.

Il a ensuite été chef de la direction de Next, une autre compagnie d’informatique, et de Pixar, la compagnie d’animation par ordinateur qui a produit “Histoire de jouets” (Toy Story) sous sa gouverne, au cours des ses 10 années d’absence d’Apple.

La compagnie avait grise mine avant son retour, ayant perdu 900 millions $ US en 1996 alors que les ordinateurs de Microsoft tournant sous Windows dominaient le marché de l’informatique. La chance de l’entreprise a commencé à tourner avec le premier produit sous la nouvelle direction de Steve Jobs, le iMac, qui a été lancé en 1998 et s’est écoulé à près de deux millions d’unités au cours de la première année.

La popularité d’Apple a crû aux États-Unis durant les années 2000 alors que les iPods ont représenté le premier gadget Apple pour toute une lignée d’utilisateurs de Windows. Apple a créé une autre sensation en 2007 avec le iPhone, qui a rapidement dominé le marché.

Le iPad a été dévoilé il y a moins d’un an et demi, mais s’est déjà écoulé à près de 29 millions d’exemplaires, en plus d’inspirer une pléiade de rivaux dans un marché des ordinateurs tablettes qui existait à peine avant l’arrivée d’Apple.

Sources : Wikipedia, Agences


W3CONSULTING

Google Panda : La nouvelle arme pour lutter contre les firmes de contenu.



Ça y’est, c’est fait ! Google vient d’annoncer la mise à jour de son nouvel algorithme pour son moteur de recherche. Nom de code : Panda, cet algorithme vient d’être déployé au niveau mondial et dans toutes les langues sauf le chinois, le coréen et le japonais.

Déployé depuis le printemps au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, Panda a pour but de permettre au moteur de recherche de Google d’éliminer de ses résultats les agrégateurs de contenus (Où firmes de contenu).
Même si la définition « ferme de contenus » reste assez vague, des sociétés comme Wikio Group, Populis et Commentçamarche pourraient être impactées par cette mise à jour. C’est le cas aussi pour des firmes américaines : Demand Media, AOL Seed et même la très respectée Associated Content.

Une très mauvaise nouvelle pour ces firmes qui ne vivent que grâce au positionnement de leurs contenus sur Google…

Cette mise à jour du moteur de recherche de Google est proposée sous forme d’une extension du nom de : « Personal Blocklist ». Elle permet aux internautes de bloquer un ou plusieurs domaines apparaissant dans la liste de résultats.

Selon Matt Cuts, ingénieur en chef chez Google en charge de veiller à la qualité du référencement, les sites bloqués par un certain nombre d’internautes pourront à terme être « dégradés » voir retirés purement et simplement des résultats de recherche.

Pourquoi cette mise à jour ?
Selon Google, cette mise à jour vise à favoriser sur son moteur de recherche les sites de qualité, c’est-à-dire délivrant des contenus et informations originaux.

Cette mise à jour impacte les résultats perçus par les utilisateurs pour en moyenne 6 à 9% des requêtes, tous langages confondus. L’impact de ce changement est moindre que celui du lancement initial de Panda, qui affectait environ 12% des résultats perçus par les utilisateurs pour les requêtes anglophones. Blog officiel Google
Certes, Google n’aura pas la tâche simple, puisqu’il faudra être très attentif aux dérives que cette mise à jour engendrera et qu’il faudra contrôler au mieux pour éviter les faux-positifs qui pourront nuire aux sites proposant des contenus de qualité.

Mais dans cette course pour améliorer la qualité des résultats de recherche en éliminant les sites parasites, Google ne va-t-il pas tuer ce qui a fait son succès ? A savoir la quantité de sites au sein de son index ?

Il sera peut être astucieux que Google puisse proposer une version de son moteur de recherche « non censurée » ou ce nouvel algorithme n’est pas pris en compte.


Firefox passe la sixième!




La fondation Mozilla distribue la version 6 de son navigateur phare depuis le mardi 16 août, qui à vrai dire était déjà disponible depuis ce week-end, via le serveurs FTP de la Fondation Mozilla. Cette version qui sort donc à peine deux mois après la version 5 est l'occasion d'améliorer le navigateur pour les ordinateurs, mais aussi pour les terminaux sous Android et Maemo.


Temps de démarrage plus rapide
Firefox 6 n'est pas une mise à jour majeure ; elle apporte cependant un lot d'améliorations fonctionnelles à commencer par un temps de démarrage plus rapide.

On note aussi la mise en valeur du nom de domaine d'une url dans la barre d'adresse afin d'aider l'internaute à mieux identifier un site. La page « about:memory » offre plus de détails sur l'utilisation de la mémoire tandis qu'une nouvelle page « about:permissions » permet de gérer les autorisations (mots de passe, cookies, géolocalisation...).


W3CONSULTING

Google se paye Motorola Mobility pour 12,5 milliards de dollars!



Google, le géant de la recherche sur Internet a annoncé lundi dans un communiqué l'acquisition de Motorola Mobility, branche de fabrication de téléphones mobiles de Motorola, pour 12,5 milliards de dollars soit 40 dollars par titre. L'offre présente donc une prime de plus de 62% sur les cours de clôture de Motorola Mobility vendredi à Wall Street.

Google juge que l'engagement de Motorola Mobility sur le très porteur marché Android "crée une complémentarité naturelle" entre les deux compagnies. Ensemble, Google espère donc que les deux Groupes soient en mesure de créer "des expériences d'utilisateurs incroyables" dans l'écosystème Android, au plus grand bénéfice des consommateurs, développeurs et partenaires mondiaux. Larry Page, le co-fondateur et nouveau CEO de Google, en profite pour souhaiter la bienvenue à toute la famille des "Motorolans" !

Il s'agit bien évidemment de la plus importante acquisition de Google à ce jour. Les conseils d'administration des deux firmes ont approuvé ce deal majeur. L'offre est formulée en numéraire.

Le mois passé, Carl Icahn, milliardaire et investisseur activiste, avait demandé à Motorola Mobility d'explorer des alternatives stratégiques pour valoriser ses brevets wireless à l'image du Canadien Nortel Networks.

Source : Boursier.com

W3CONSULTING

Bing est plus efficace que Google?



Dans la grande bataille entre moteurs de recherche sur internet, il y a Google et les autres. Pour autant, même si Google domine largement son marché, ses concurrents n'ont pas renoncé et techniquement leurs moteurs sont peut-être même plus efficaces et précis. C'est en tout cas ce qui ressort d'une étude du cabinet d'analyse Experian Hitwise qui fait grand bruit selon le Christian Science Monitor.

Selon Experian Hitwise, Bing et Yahoo (qui utilise le moteur de Bing aux Etats-Unis et au Canada depuis l'an dernier) ont le meilleur taux de succès de tous les moteurs de recherche. Cela signifie que plus de personnes qui ont utilisé le moteur Bing et Yahoo ont cliqué à l'issue de la recherche que ceux ayant utilisé Google. Et la différence n'est pas mince. Ainsi, 67% des utilisateurs de Google ont visité après une recherche un des sites proposé et 81% pour Yahoo et 80% pour Bing.

Le pourcentage de recherches infructueuses prouvent qu'il y a encore beaucoup de travail pour améliorer les algorythmes et recenser les sites existants par les moteurs de recherche.

Selon Information Week, cette étude est aussi une excellente nouvelle pour Microsoft (à qui appartient Bing lancé en 2009 pour concurrencer Google) et plus encore pour les équipes de publicité de Microsoft. «Ces chiffres peuvent aider Microsoft à augmenter ses revenus provenant des services en ligne, ils montrent au marché publicitaire que les mots clés achetés sur les sites utilisant Bing comme moteur qu'ils ont un meilleur taux de clic que ceux achetés sur Google».

Pour autant, il est difficile d'imaginer que Bing et Yahoo, puissent détrôner Google dans un avenir proche. En juillet aux Etats-Unis, selon les chiffres de Experian Hitwise, Bing détenait 13% du marché de la recherche et Yahoo 15% contre 66% à Google.

Quand il a été lancé en 2009, Bing représentait 8% de la recherche aux Etats-Unis et Google 65%, deux ans plus tard, le moteur de Microsoft a bien progressé, mais Google ne lui a pas pris de parts de marché. En fait, son audience supplémentaire Bing l'a prise à son partenaire Yahoo. Les utilisateurs du moteur Yahoo passent de plus en plus directement par Bing, mais cela ne fait pas d'ombre à Google.

«C'est un jeu à long terme pour Bing et nous continuerons à mettre l'accent sur une bonne expérience utilisateur… Nous avons faits des progrès importants dans de nombreux domaines», explique Stefan Weitz, le directeur de Bing, au site CRN.


Source : Slate.fr

W3CONSULTING

Maroc Telecom Désormais N°1 de l’internet 3G



Selon le document de l’ANRT qui analyse l’évolution des marchés du fixe du mobile et de l’internet, Maroc Telecom détient 44,68% du parc internet 3G suivi de WanaCorporate avec 30,8% et de Medi Telecom avec 24,52%.

Toujours selon l’analyse de l’ANRT, le parc internet 3G a atteint au 30 juin 2011, 1 816 792 abonnés en réalisant un taux de croissance de 9,74% au deuxième trimestre 2011.

A noter qu’à la fin du mois de juin 2011, les abonnements au service Internet 3G « Data Only » s’élèvent à 1 281 616 (70,54%)en réalisant untaux de croissance trimestriel de2,65% alors que les abonnements combinant « Voix + Data » atteignent 535 176 (29,46%)en enregistrant31,51% de croissance par rapport à fin mars dernier.

Le document indique que le parc total internet a atteint au 30 juin 2011, 2 345 725 abonnés contre 2 172 903 à fin mars dernier, en enregistrant un taux de croissance de 7,95% au cours du second trimestre 2011.

En termes de part de marché, Maroc Telecom détient ainsi 57,11% du parc internet suivi de WanaCorporate avec 23,9% et de Medi Telecom avec 18,99%.

Sources : ANRT, Menara


Apple: L'entreprise la plus chère du monde



La firme à la pomme bloque la commercialisation en Europe de la Galaxy Tab de Samsung.

Il y a eu General Electric, Exxon et maintenant ­Apple. L’industrie lourde, le pétrole et l’entreprise qui symbolise la diffusion de la micro-informatique dans le grand public. Apple est devenue l’entreprise la plus chère en Bourse.

Après une incursion mardi à la première place, Apple a confirmé mercredi son leadership. Le spécialiste de l’informatique a mieux résisté à la tourmente que le pétrolier à la dérive des marchés, valant jusqu’à 6 milliards de plus que lui. En 2007, année du lancement de l’iPhone, Apple était valorisé 133 milliards de dollars, tandis qu’Exxon valait 500 milliards. Mercredi, les capitalisations des deux entreprises ont évolué dans une zone comprise entre 333 et 341 milliards. Après avoir doublé Microsoft l’année dernière, pour devenir le groupe informatique le plus cher au monde, la firme à la pomme est aujourd’hui sacrée à la première place toutes catégories et tous pays confondus (y compris les mastodontes chinois).

Dans un paysage aussi bousculé, cela confère à Apple un quasi-statut de valeur refuge, témoin de la confiance des marchés en sa capacité à continuer à apporter des produits répondant aux attentes des consommateurs. Les espérances autour du lancement de l’iPhone 5 - attendu pour l’automne - n’y sont pas étrangères. Les prévisions les plus optimistes misent sur la vente de 30 millions d’exemplaires en trois mois. Avec des marges de près de 50 %, ces perspectives ont de quoi séduire les investisseurs. Voire d’effacer, du moins provisoirement, les inquiétudes sur la santé de Steve Jobs et le secret toujours maintenu sur la mise en place d’un plan de succession.

Source : Le Figaro


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Retrouver l’ancien Chat Facebook [100% Fonctionnel]



Nous sommes beaucoup à vouloir retrouver l'ancienne version du chat Facebook, et celà pour de multitudes de raison.

L’ancien Chat donnait le nombre de personnes en ligne en fonction des heures, chose qui était excellent indicateur pour savoir quand publier. D’autant qu'il était possible de disposer d'un compteur pour chacune des listes. Par contre le nouveau Chat sélectionne lui-même les amis en ligne et ne les sélectionne pas tous.

Alors, si vous souhaitez revenir en arrière, ouvrez votre navigateur préféré et sélectionner le lien approprié ci-dessous :

Pour Google Chrome et RockMelt :

Pour Firefox

Pour Opéra